Archives de l'auteur

Lentilles de contact et vente par Internet

Écrit par Matthew Robinson le . Dans la rubrique Jurisprudences

LentillesLa vente de dispositifs médicaux, comme les lentilles de contact et leurs produits d’entretien, est en plein essor sur Internet. Moindre coût et livraison à domicile séduisent bon nombre d’internautes, d’autant que la banalisation de la délivrance de ces produits sans avis médical donne l’impression qu’il s’agit d’un bien de consommation courant. Les instances européennes privilégient d’ailleurs régulièrement l’aspect commercial en favorisant la libre circulation de ces produits au détriment des mesures de santé publique prises par certains pays de l’Union, à tel point que de nombreuses situations paradoxales existent.

Renouvellement de la prescription de lunettes par l’opticien

Écrit par Matthew Robinson le . Dans la rubrique La forme

LunettesExplosion médiatique après la parution des décrets, en avril 2007, clarifiant les nouvelles possibilités offertes aux opticiens-lunetiers en matière de renouvellement d’une prescription de verres correcteurs. Du fantasme à la réalité, il y a bien souvent un gouffre. Il est apparu nécessaire d’étudier ce que la loi autorise réellement.

Les médecins sont-ils des dealers ?

Écrit par Matthew Robinson le . Dans la rubrique Variations

Les praticiens ne sont pas mis en cause par le rapport 2006 de cet organisme qui fait le point sur l’évolution de la consommation et des prescriptions des stupéfiants et des substances psychotropes. Mais c’est la question que l’on peut se poser à la lecture de ce document : dealers à leur insu, bien entendu.

Le droit de prescription est-il à vendre ?

Écrit par Matthew Robinson le . Dans la rubrique Variations

En modifiant le code de la santé publique, un amendement au plan de financement de la sécurité sociale remet complètement en cause l’indépendance qui existe depuis de très nombreuses années, pour ne pas dire depuis toujours, entre le prescripteur et le vendeur dans le domaine de la santé en France. Que peut-on attendre de cette décision qui sonne le glas d’un des fondements de notre système de santé, pourtant considéré comme le meilleur du monde ?